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Tu t'éloignes. Quoique tu en dises. Quoiqu'on en pense. L'amour remplit ta vie. Mais notre amitié la déserte. On fait comme si. On va faire comme si jusqu'à quand? J'ai l'impression de te faire des faux sourires. Et je dois être trop lâche pour te dire tout ce que je regrette.
Une amitié cassée dans l'année. C'est déjà beaucoup trop. La nôtre s'étire. Elle s'étire et bientôt elle va finir par rompre. Je n'ai plus envie de te raconter tout et n'importe quoi. De toute manière. Je n'en ai plus le temps. Parce qu'en dehors des cours on ne te voit plus.
Et puis. Certainement à cause de nous. Un peu. Mais est-ce de ma faute si je ne l'aime pas? Lui? A un moment, on peut plus se forcer. Je n'y arriverais plus longtemps à faire croire que oui, j'ai passé une très bonne soirée. En fait, çà fait longtemps qu'on a pas passé de soirée tout court.
Et, il y a ces autres visages qui se dessinent dans mon avenir. Il y a des gens qui entrent. D'autres qui sortent. Et encore. Il y a ceux qui restent sur le seuil de ma vie. Toujours à l'intérieur. Mais si proche de se retrouver face à la porte. Et ne plus pouvoir la franchir. Et çà m'embêterait beaucoup.
J'ai retrouvé les bancs de la fac. Hier. Enfin. Même si on a eu un rire doux-amer. Dehors, le printemps a fait chauffé le thermomètre. On s'est laissé vivre le temps d'une heure ou peut-être deux. Et je sautillais intérieurement même si j'ai du demander si c'était vraiment aujourd'hui qu'on y allait. La journée a défilé en un claquement de doigt. Les cours ont été intéressants. Je crois que je suis repartie plus motivée que jamais. Cà n'a peut-être pas fait de mal cette coupure imposée. Voir autrement. Et 18h30. J'ai cru que le prof de grec ne nous laisserait jamais faire de pause. On s'est éclipsée. Plus ou moins discrètement.
RER.
Métro.
Et à chacune de leurs affiches: On y va! Même qu'on chantonnait. En attendant.
Et Porte de Pantin.
Et... Zénith.
Ne plus savoir où donner des main. Les flyers qui atterissent directement dans les paumes. Et... çà me dirait bien çà. Cà aussi d'ailleurs. Et... Oooooooooooh.
Même si c'est grand. Même si je me suis fait consigner mon appareil photo. Wouaouh!
Droite.
Tout devant.
Pas pile poil en face de la scène mais vue d'ensemble.
Pause dîner.
Et les lumières s'éteignent.
Et...
Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.
Ce sont eux. Ils annoncent la première partie. Et... 40 minutes de bonheur. S'envoler direction Senegal. Et ils chantent. Mais ils dansent surtout...
Et puis.
21H. Et 21h30.
Et...
Hystérie. C'est parti. Les chansons se succèdent et le bout des lèvres les hurlent et les murmurent. Et le téléphone sonne. Mais je n'entends rien. Un peu de tout. Du premier au dernier album. Appeler ma cousine pour sa chanson. J'avais promis. Et les jeux de lumière. Et leurs jeux tout court. Le bassiste qui fait des bisous dans son micro. Et...
23h40.
C'est déjà l'heure.
Mais... Tu penses quoi toi? Tu dis rien?
Moi je pense que. Je les reverrais peut-être avant la fin de l'année. Bercy. Novembre. Même si c'est encore plus grand.
Dis, est-ce que tu m'aimes encore?
Plus que jamais je crois bien. C'est un groupe qui a bercé mes oreilles de petite fille. Que j'écoutais en douce, l'oreille collée sur la serrure de la chambre de ma soeur. Et sur son lit.
Elle est parisienne.
Métro.
RER.
Chemin inverse. Enfin pas tout à fait. Regagner une maison que je ne connais pas. Mais qu'est-ce qu'elle est jolie. Faire un mini-tour du propriétaire sur la pointe des pieds. Quelqu'un dort...
Pyjama.
Et compagnie.
Et nos langues se délient jusqu'à tôt dans la matinée. Pendant que les pieds souffrent. Et ce matin, réfléchir avant de se dire que...
On y était.
Je crois bien que je trépigne.
Je crois bien que demain soir, je sautillerais partout.
Je crois bien qu'on sera un peu hystérique.
Je crois bien qu'on chantera beaucoup.
Je crois que je prendrais des photos.
Je crois que demain.
Je crois bien que demain, Louise Attaque.
Rester en vie
Ce n'est que du music-hall
Un spectacle hors de prix
Une grande foire agricole
[Miossec. "Rester en vie". 1964]
Il y a des jours où tout va bien.
Et çà suffit.
Il y a les jours où tout va bien.
Mais, il faut se demander pourquoi.
Il y a les jours où tout va mal.
Et là, généralement on sait pourquoi.
Il y a les matins où rien ne va plus.
C'est le syndrome du réveil qui sonne.
Il y a ces matins qui ne viennent jamais.
Il fait toujours noir à neuf heures.
Et ceux qui viennent trop tôt:
les oiseaux qui cuicuitent à cinq heures.
Il y a ces heures qui s'éternisent.
A regarder les minutes passées.
Il y a les secondes qui défilent.
Et elles laissent place à la nuit.
Mais...
Rester en vie
Ce n'est que du music-hall
Un spectacle hors de prix
Une grande foire agricole
mOi je m'en mOque
j'envOie valser
les truc en tOc
les cages dOrées
tOi quand tu m'serres très fOrt
c'est cOmme un trésOr
et ça
et ça vaut de l'Or
Juste comme çà.
Parce que j'ai eu
cette chanson en tête
aujourd'hui.
Et c'est tout.
Pix by Getty Image. Of course...
Chansons. Oui. C'était les victoires de la musique. Aloooors...
I love Laurie.
Et j'aurais le même tee-shirt parce que comme Anaïs, "Je déteste les couples! Tout court!" les "Mon coeur, mon amour// Mon amour, mon coeur".
Et il y a eu Benabar. Même que j'ai été déçu qu'il soit reparti avec rien dans les mains. Mais. Le dîner et toutes les autres restent de superbes chansons. "On a qu'à dire à tes amis qu'on les aime pas et puis tant pis." Moi je veux bien aller me cacher sous les draps... ;-) Hihihi
Et Cali, je crois que j'aurais bien aimé ses bisous plein de rouge-à-lèvre. Il y a des gens, ils ne savent pas ce qu'ils ratent! ^^
Louise Attaque. Et "merci, simplement"... J'irais marcher jusqu'à demain. J'irais marcher loin. Mais où je serais? je sais pas. Peut-être là-bas ou peut-être pas.
Tryo. Même si c'était L'hymne de nos campagnes. Parce que çà fait une éternité cette chanson. Et il y en a tant d'autres...
Camille.... etc... Et j'ai souri. Tout ces gens qui passent par mes oreilles.
Et non. Je n'ai pas fini. Parce qu'il en reste encore plein. Il en reste encore un. Il me reste Raphaël. Je me suis réveillée avec lui ce matin, devant le hit machine. Je m'endors avec lui, ce soir. Et lui s'endort avec ces trois victoires de la musique...
En parlant de çà. Je me demande ce qu'ils en font... Trois Victoires sur la cheminée çà fait beaucoup, non? Peut-être une sur la cheminée, l'autre comme presse-papier et la dernière? Si vous savez...
Et Tryo a repris le relais...
Embrasse-moi par dessus bord. Finalement... ce soir, il n'y aura pas de problèmes de réseau... :D
Bonne nuit.
Peut-être qu'il n'aurait pas fallu mettre ces chansons. Celles qui bercent le coeur. Celles qui transpercent un peu. Celles qu'on ne devrait pas écouter et pourtant, une folle envie de.
Parce qu'il y a des chansons qu'on écoute sans les entendre. Parce qu'il y a ses chansons que j'écoute en souriant. Il y a ses mots qui trouvent leur place à l'esprit. Les mots qui reviennent dès la première note de musique. Cet air sourire. Ces mots, les siens. Et qui pourrait être un peu les miens. Il y a ses mots qui font rire. Et d'autres qui font couler l'eau sur les joues. Certains qui sont trop vrais. Et d'autres.
Il y a ces chansons. Et ses chansons. Il y a mes chansons. Et les leurs. Il y a celles que je réécoute, à l'infini. Et d'autres, juste pas moment. Parce que c'est l'instant. Prendre son temps et découvrir, encore. Mais, les paroles reviennent flotter sous la langue.
Sentir le coeur se balancer de haut en bas. De droite à gauche. Mais doucement. Comme sur une balançoire. Avoir toujours envie d'aller plus haut. Vouloir atteindre le ciel. Ou sauter. Pour les sensations fortes. Et des fois, la balançoire grince. Le coeur aussi. Et parfois, elle s'arrête. Le coeur aussi. Pourtant, on crie toujours encore.
Juste pour nous faire pousser des ailes.
Un
Deux
Trois
Regarde droit devant toi
Et dis-moi ce que tu vois
Un ciel bleu? Des nuages? Une silhouette?
Qui? Que? Quoi? Rien. Personne.
Quatre
Cinq
Six
Ferme les yeux et rêve
Rêve aux étoiles qui tapissent ton ciel
Il ne faut pas que çà cesse
Rêve autant que tu le peux
Sept
Huit
9
La crevette d'acier... Je ne sais pas si c'est vraiment connu. A vrai dire, je ne connaissais pas avant le concert des Blérots de R.A.V.E.L. il y a deçà un an... à peu de choses près. Ils ont fait la première partie. Une groupe de chanson-théâtre en quelque sorte. A voir et à entendre -en même temps. Sinon, c'est moins bien...
C'est des chansons qui collent à la vie. C'est des situations qui font rire, sourire ou pleurer. Surtout rire lorsqu'on les voit. Ils ont ce je-ne-sais-quoi qui fait que j'aime. Parce que quand c'est la déprime le soir, et que je ne veux pas écouter des chansons à faire pleurer les pierres en regardant mes étoiles, je mets ce cd. Malgré lui le sourire revient au souvenir d'eux.
L'aura? L'aura pas? L'aura? L'aura pas? L'aura? L'aura pas?
L'aura pas!
Mais, c'est pas grave! L'aura la prochaine fois... Je pourrais peut-être parler... lol Et je tomberais pit'et' que l'examinateur qui te mets à l'aise... Chose sûre, je passerais dans les premiers... J'attendrais pas 2 heures avant de passer mon permis!
Voili! Voilou!
Enfin, les larmes ont séché quand même... :-)
Paroles trouvées sur www.qui2nous2.com
J'aime beaucoup cette chanson... Tout particulièrement...
Peau de fleur
(-M-)
J’remonte
À la racine
De mes pensées intimes
Quand je pleure
Pleurer
Me fait grandir
Pleurer
Me fait pousser
Comme une fleurUne danse en transe
Une transcendance
Quand ma sève pense
Ma substanceJ’étais desséché
Je n’avais pas pleuré
Depuis longtempsJe suis
Ton pot de fleur
Je suis
À fleur de peau
Si tu savaisUne danse en transe
Une transcendance
Quand ma sève pense
Ma substance
Ai entendu la nouvelle chanson de Céline Dion aujourd'hui.
Ai vu le clip qui va avec évidemment.
Ai beaucoup pensé à Titanic en le voyant... L'ambiance peut-être... Je sais pas.
Ai trouvé le clip pas si mal.
Ai bien rigolé de la chanson... Je ne vous oublie pas. Peut-être. On la croit, hein! lol. M'est d'avis que cette chanson est surtout faite pour nous rappeler son existence à elle.